Il est où le yéti maintenant ??
Une bonne soirée jeudi soir à picoler avec les copines (sauf une qui boit pas, la rebelle).Une bonne soirée hier soir à Paris-plage pour le festival Indetendances... Nosfell, vraiment vachement bien.
Mais dans la journée, qu'est ce que je m'ennuiiiiiiiiieeeeeeeeee !!!!!!!!! Limite je trouverais bien du taf. Histoire de.
Sauf qu'aujourd'hui, c'est samedi, et que meme si je trouvais du taf, ben le samedi, ca resterait une journée de glande. Bref, aujourd'hui, c'est pire que tout, y'a plus personne à Paris, tous les potes se cassent en WE ou en vacances (carrement, les salauds).
Manque de bol, je me suis aussi révéillée tôt (enfin, tout est relatif, mais 10h pour moi, c'est l'aurore), donc le journée n'est pas prête d'en finir.
Tout ca pour dire que comme je savais vraiment pas quoi faire après avoir maté le Hit Machine (oué, la honte, je sais), ben je me suis dit qu'il fallait que je fasse un truc d'utile, quitte à passer le temps.
J'ai vaguement pensé au ménage (mais ca va pas dans ta tête ma p'tite Bibz ?? genre tu vas faire le menage pour t'occuper !!! t'en es quand meme pas à ce point ???.... oué, je me parle comme ca dans mes grands moments de solitude), à aller faire du roller dans la foret (mais il pleut, c'est vraiment trop pas de bol), à donner mon sang, à annuler la dette mondiale des pays pauvres, à trouver un vaccin contre le cancer, voire à aller nourrir les chtits nenfants d'Afrique.
Mais non. Quitte à faire un truc utile, autant se faire mal... non, jolie pardon. J'ai donc lancé l'operation "matraquage de yéti" , autrement appelée "comment se torturer avec un épilateur électrique".
Comme toute nana qui se respecte, je crois avoir tout tenté en matière d'epilation (ah non, pas l'esthécienne, mais c'est parce que je suis fauchée et que j'ai la flemme), de la cire froide et chaude à la crème depilatoire, en passant par ce bon vieux rasoir. Qui, soit-dit en passant, reste tout en haut de mon Top 5 de l'épilation (toujours cette question de thune et de flemme), même si techniquement parlant, ce n'est pas vraiment de l'épilation, mais on s 'en fout, le but ultime étant d'avoir des jambes débarassées de ces maudits poils à la con. Mais je m'égare.
Ce qu'il faut savoir (je parle surtout pour vous, Messieurs, qui ne vous doutez absolument de la souffrance que nous, les femmes, nous subissons pour paraitre sous notre meilleur jour en petite robe sexy), c'est que l'épilateur électrique, c'est le mal incarné dans un appareil électrique.
Les 5 premières minutes relèvent du supplice. Bon, après, la peau s'habitue à la douleur, et on sent presque plus rien(j'ai bien dit "presque"). Sauf dès qu'on change de zone, c'est à dire toutes les 2mn maximum. Et ne parlons même pas des zones hautement sensibles, genre derrières les genoux, ou juste au niveau des chevilles (rien que d'y penser, mamamiiiiiaaaaaaa, je jonggle).
Enfin, il y a toujours des tout petits poils que la machine ne peut pas attrapper. Et là, ben utiliser l'ancêtre de l'instrument de torture : la pince à épiler.
Tout cela prend donc un temps fou, fait affreusement mal, et doit être réitérer le lendemain pour matraquer les poils trop courts le jour d'avant. Enfin, les jambes sont recouvertes de petits points rouges super jolis pendant quelques heures, ce qui veut dire que pour la jolie petite robe sexy, Messieurs, va falloir vous brosser pour aujourd'hui.
Sur ce, je vous laisse, faut que j'y retourne pour fignoler le boulot. Voire même que je tente le maillot et les aisselles (OH MON DIEU. Priez pour moi, chers lecteurs).
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