48h chrono
Des nuits très très courtes, du soleil in your face, des fous rires dont on oublie la cause, des cartes de voeux RATP qui me font tripper, du caramel dans ma vodka (rhhaaaa), un commatage en règle dans un bar, des bonjours-comment-gnia-va, un cadeau trop trop bien, des aspirines au réveil, des regards rieurs, les ponts de Paris, un couple de Sims en vrai de l'autre côté de la rue (mais était ce vraiment un couple ?), un lundi au soleil et en RTT, une bataille de boulettes de papier, des souvenirs qui reviennent progressivement de la nuit de samedi (et d'autres, pas, mais alors pas du tout), un chapeau qui tourne, des hiiiiiiiiiis et des biiiiiiiiisouxxxx, un resto japonais, un matelas gonflable crevé, un serveur-pas-sympathique-mais-on-s'en-fout-les-mojitos-sont-bons, un au-revoir à l'aéroport et des "take care" dans l'oreille, du Fat Boy Slim à fond, pas assez de sommeil, des Ferrero rochers.La tête pleine. Pourquoi tous les week-ends ne ressemblent pas à celui là ?
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