(Et merde, pas de titre. )
J'arrive plus à me réveiller le matin. J'arrive plus à me coucher avant 1h le soir non plus, note.
Et comme par hasard, plus je suis fatiguée, plus j'ai de boulot, plus je suis stressée, plus j'ai du mal à m'endormir, et moins je dors, et donc plus je suis fatiguée .... cercle vicieux à la con.
Et pourtant.
J'ai le sourire accroché aux lèvres (avis aux spécialistes : non non, ce ne sont pas des faux sourires) ; je m'éclate au boulot et j'ai à nouveau l'impression de faire du social, du vrai ; je vois du monde et passe des chouettes soirées ; pas moins de 4 personnes différentes m'ont fait remarqué que j'avais maigri alors du coup, je me suis collée au régime (on ne rigole pas dans le fond là-bas) ; je m'apprête à aller faire les soldes avec ma Lulu (RTT, ca rime avec soldes d'été, spa ma faute)(vous remarquerez qu'en plus, je me suis levée à 9h30 un jour de RTT, je suis grave là) ; les vacances d'août commencent à s'organiser doucement ; un truc de ouf, ca fait quelque jours que je me regarde dans la glace et que je me trouve jolie, en fait ; et puis l'été semblant vouloir faire un petit retour en force ce WE, je me casse à la campagne faire bronzette, na!
Juste, on est que le 4 juillet. Je sais pas si je vais tenir la cadence longtemps.
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Le 21 juin, ca craint.
21 juin, fête de la musique , strop la joie dans les coeurs, toussa toussa.
L'animatrice pour p'tits vieux de l'hôpital ne pouvait donc pas manquer cette occasion de me pourrir une nouvelle fois mon après-midi de
sieste boulot acharné.
Je préssentais donc le grand retour de mon accordéoniste préféré. Ou pire, le fameux karaoké animé par celui qui tente à chaque fois de battre le record du monde du nombre de chansons daubesques de plus de 50 ans d'âge exclusivement (si si, le titre le plus récent de son karaoké, c'est "Que je t'aime", j'invente rien hein !).
Mais non. Aujourd'hui, c'est fête de la musique, alors on voit les choses en grand. Point d'accordéon ou de karaoké, que nenni !
Cet après-midi c'est CHORALE !
Mon imagination étant indexée sur mon taux de sommeil, je me suis enflammée sur le fait que j'allais donc être
bercée soutenue moralement dans ma tâche par des jolis choeurs slaves. Ou une chorale classique. Voire même des chants corses. Nan j'déconne, faut pas pousser mémé dans les orties quand même (célébre blague de gériatrie donc)
Et bien non, le supplice du jour est donc ....
*suspense*...
Une chorale d'enfants ! TADAAAAAAAM !
Chants, fables de la Fontaine, et surtout, le bouquet finale, concert instrumental !
...
Nonméossecoursortémoidella!!
Mes neurones, bien que possédant une faculté d'adpatation admirable (c'mon blog, je m'lance des fleurs si j'veux) vont jamais supporter la flûte à bec ....
D'ailleurs hop, si c'est comme ça, je pose une RTT demain pour que mes oreilles aient le temps de récupérer. Uhuhuh.
Nan, en fait, strop bien, la fête de la musique je trouve.
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